Prénom : Victor
Nom : Shomel
Pseudonyme : aucun
Âge : 37 ans
Description physique :
Mesurant un bon mètre quatre-vingt-trois et pesant dans les 78 kg (de muscle principalement), Victor est ce qu’on peut appeler un homme bien bâti. Il a le visage plutôt carré souvent mal rasé, des yeux bleus pénétrant et des cheveux châtains très foncés entre courts et mi- longs qui lui confèrent une certaine prestance (et il a tendance à en profiter). Il s’habille en chemise, pantalon de costume et gilet en général avec ceintures en cuirs auxquelles il accroche sa plaque de policier (parce qu’il aime les policiers de séries télé qui le font). Seul reproche que l’on pourrait faire à ses tenues vestimentaires : le fait qu’il porte tout le temps des tennis au lieu de mettre des chaussures qui s’accorderait avec sa tenue.
Description morale :
Victor est d’un naturel plutôt joyeux, et surtout curieux, fan d’histoires policières et d’énigmes en tout genre il passe son temps à chercher des casses têtes quand il n’a rien de mieux à faire. Coureur de jupons invétéré l’inspecteur plaît et il le sait il en joue même avec il ne se fixe pourtant jamais avec une seule fille et préfère les soirées arrosées qui se terminent chez une autre. Empreint d’une ardeur et d’une ténacité assez forte il ne lâche jamais une affaire non résolue (sauf ordre de ses supérieurs de passer à autre chose, et même là il garde l’affaire dans un coin de son esprit). Il est aussi bagarreur et jouera plutôt des poings que de son arme dans la mesure du possible (il oublie d’ailleurs cette dernière dans son bureau par moment ce qui lui a valu des réprimandes à plusieurs reprises déjà).
Défauts :
A tendance à perdre le fil de ses pensées quand une jolie femme est face à lui.
A un langage de charretier.
Histoire :
- Enfance :
Victor est né le 5 juin 1975 à Lyon, d’une mère anglaise travaillant dans la politique et un père français camionneur. (L’attirance qu’eut la mère pour le père reste à ce jour le plus grand mystère aux yeux de Victor). Il vécut douloureusement la séparation de ses deux parents à l’âge de cinq ans, laisser à la garde de son père il resta toutes fois en contact avec sa mère qui ne put l’emmener avec lui en Angleterre pour des raisons pratiques. Max, le père du jeune garçon, n’était pas un mauvais père en soit. Il prenait soin de son enfant et faisait en sorte qu’il progresse au maximum dans ses études afin de lui assurer un avenir décent, il lui apprit cependant bien malgré lui un langage des plus … fleurit.
Le gamin commence vite à apprécier la lecture, passion qui doit lui venir de sa mère le pater n’étant pas ce que l’on pourrait qualifier de bibliophage. Vers ses treize ans il dévore les œuvres de Sir Arthur Conan Doyle et d’Agatha Christie, ayant toutefois une préférence notable pour le détective anglais moins imbu de lui-même que ne l’es le détective belge et avec un méchant plus charismatique que les adversaires d’une certaine retraitée.
Il lit et relit ces histoires et en décortique les mystères. De toute façon c’est l’une des seules occupations qu’il possédait à l’époque, son père étant sur la route la plupart du temps pour gagner sa croûte et ne possédant comme seule autre distraction que la télévision qui n’affichait rien de vraiment passionnant. Il devint rapidement Maître dans l’art de réchauffer des plats déjà préparés ou les restes d’un repas passé, avant de finalement apprendre quelques bases de la cuisine lorsque son père lui accorda enfin le droit de délaisser le four micro-onde pour la gazinière.
- Adolescence :
Plus doué dans les matières littéraires que les matières scientifiques, Victor garde quand même de bon résultat que ce soit durant le collège ou le lycée. Il découvre les plaisirs de la chair à l’âge de seize ans et a tôt fait de perfectionner ses techniques de drague afin de s’assurer des rapports des plus intimes avec le sexe opposé le plus souvent possible.
Durant son adolescence il découvre la cigarette et l’alcool, il prend l’aspect du mauvais garçon malgré une scolarité qui reste dans le bon chemin. Fêtard il ne rate pas une seule boom quand il entend qu’une d’entre elles est organisée, et il fait en sorte d’être remarqué durant ces soirée afin d’entretenir son image de mec dans le vent.
Bilingue grâce à sa mère et les conversations qu’il a avec elle dès qu’ils peuvent se parler, le jeune homme joue de ses origines pour ajouter à son charme déjà présent. Il s’amuse souvent à imaginer qu’il mène des enquêtes quand il cherche des renseignements sur une fille qui l’intéresse. Apprécié par la gente féminine il n’en reste pas moins qu’il a de nombreux amis masculins avec lesquels il joue au foot durant les pauses récréatives. (Parties qui ont brisées quelques vitres sur des coups de pieds trop vifs)
Lors du passage du collège au lycée il déménage en Angleterre pour être d’avantage avec sa mère, sans pour autant délaisser la figure paternel qu’il appel régulièrement. Durant cette période il essaiera à plusieurs reprises de comprendre pourquoi ses parents se sont séparés et faire en sorte qu’ils reviennent l’un vers l’autre sans réel succès.
A dix-sept ans il a pour projet de devenir détective privé comme les héros de ses livres de chevet, cependant il délaisse peu à peu cette idée pour s’orienter vers la police, car voyons les choses en face, les détectives privés ont plus d’affaires de filatures pour des adultères que de réelles affaires de meurtres ou de vol audacieux à se mettre sous la dent.
- Âge adulte :
Après avoir obtenu son diplôme universitaire, il finit par décrocher un travail de policier au poste de Victoria Street plus communément appeler New Scotland Yard, et plus connu sous le simple nom de Scotland Yard.
Très assidu dans son travail il se fait repérer par ses supérieurs et c’est sans réel surprise que sa demande de mutation au service des crimes graves et organisés. A force de travail et d’acharnement il est promu inspecteur à l’âge de 26 ans.
Les affaires qui atterrissent sur son bureau sont souvent fades, sans véritable besoin de réflexion. Puis vint une enquêtes sur du trafic d’armes, rien de bien passionnant au premier abord mais Victor finit par trouver des indices le conduisant à penser qu’un homme assez haut placé du nom de Sir Alexander Maitrory serait l’instigateur de ce trafic. Il se rendit donc chez le dit gentleman pour l’accusé sans détour, mais faute de preuves réellement accablantes il ne put l’arrêter et se fit sévèrement réprimander, il dût faire à contre cœur des excuses à l’accusé. Il garda cependant un œil sur Alexander d’assez loin.
Grace à cette surveillance il put arrêter toutes sortes de transactions et ventes illégales camouflées par les bons soins du sir. C’est à peu près à cette époque que les services de police entendirent pour la première fois le titre de « triste sire » dans la bouche des malfrats et contrebandiers qu’ils arrêtaient. Victor savait que c’était une taquinerie venant de son adversaire, une sorte d’aveu camouflé mélangé à une invitation à l’arrêté. Et Victor comptait bien lui passait les menottes sans remontrance un de ces jours.
C’est donc tout naturellement que l’inspecteur suivit Alexander lorsque celui-ci quitta Londres pour n village isolé, il sentait anguille sous roche et le prit en filature jusqu’à l’intérieur du château où il avait aperçu son homme y pénétrer…
Spécificités : Aucune
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Sujet: Victor Shomel 
